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Une des rues les plus célébres de Paris
Certains disent que c'est la plus étroite de la capitale (1m80), mais le Sentier des Merisiers dans le 12ème revendique aussi ce titre.
Elle fut ouverte en 1540. Son nom serait probablement dû à une enseigne.
Une légende sulfureuse y est attachée:
"Au XVème siècle, un chanoine du nom de Don Perlet se livrait en ces lieux, à l'alchimie en compagnie d'un chat noir habile à extraire d'un coup de patte les poissons de la Seine qui coulait à proximité. Trois étudiants persuadés que l'écclésiastique et le chat ne faisaient qu'un et était en réalité le diable, guettèrent le pauvre matou, le tuèrent et le jetèrent dans la Seine.L'alchimiste était parti en voyage et ne reparut qu'un peu plus tard. Quant au chat, il pêchait de nouveau paisiblement au bord de l'eau! A la suite d'une dénonciation, les étudiants furent arrêtés et pendus au gibet de Montfaucon. Personne ne put expliquer la résurrection du matou!"
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On a du mal à imaginer que l'on est au coeur de Paris,
à deux pas de la foule des touristes qui envahit les abords du Sacré Coeur et de la Place du Tertre.
Alors si vous passez par là, n'oubliez pas de vous perdre
dans les petites rues, hors des sentiers battus. Vous y ferez peut-être de drôles de rencontres comme celle-ci, le passe-muraille de la Place Marcel Aymé
Et si ces émotions vous ont donné faim, allez rue Lepic au "Moulin de la Galette". Vous n'y rencontrez plus Dalida qui y avait ses habitudes, mais pour 17€, on vous servira une entrée et un plat, (ou un plat et un dessert) tout à fait délicieux qui vous prouveront que l'on peut trouver, dans un endroit très touristique, un restaurant digne de ce nom qui respecte les consommateurs et leur porte monnaie!
www.lemoulindelagalette.fr
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J'ai croisé ce magnifique papillon dans les Alpes.
Quand j'ai appris que c'était un "Apollon", j'ai pensé à une vieille chanson interprétée en 1936 par Fréhel.
"...ce n'est pas un Apollon mon Jules
Il n'est pas taillé comme un Hercule...
Tel qu'il est il me plait
Il me fait de l'effet
Et je l'aime
C'est un vrai gringalet
Aussi laid qu'un basset
Mais je l'aime..."
Notre Première Dame Chanteuse de France pourrait peut-être la reprendre pour relancer sa carrière!!!
Non???
Fréhel
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Commune d'Orléans. Loiret
On raconte que lors du siège d'Orléans en 1429, des soldats anglais qui tentaient d'avancer silencieusement, comme des chats, pour attaquer une poterne, furent trahis par le bruit des fers de leurs bottes. On les aurait surnommés "les chats ferrés"!
La mairie propose aussi une sombre histoire de chats appartenant à des catholiques ou des protestants, jetés à l'eau, lestés de fers!
Une petite anecdote en rapport avec ce nom:
Dans les années 50, dans la cour de l'école, à Paris, on jouait à "chat ferré"! Comme nous n'avions pas le droit de grimper sur les bancs pour jouer à "chat perché" , nous avions inventé une règle qui consistait à trouver refuge sur tout ce qui était métallique sur le sol de la cour: plaques d'égout, grilles de protection autour des arbres, grilles d'évacuation d'eau etc..etc...
Je serais curieuse de savoir si ce jeux existait ailleurs. Est ce que ça vous dit quelque chose?
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Commune d'Orléans. Loiret
La mairie d'Orléans nous suggère deux origines possibles:
- L'enseigne d'un ancien cabaret
- Des montreurs d'animaux savants qui auraient habité cette rue
(Esméralda de passage à Orléans?!!!)
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