• Nous étions parti à Paris avec l'idée d'aller "caresser le cul des vaches" au Salon de l'Agriculture!
    Mais les bouchons, les files d'attente au parking et aux caisses, ainsi que  la perspective de devoir jouer des coudes et de se faire écraser les pieds pour essayer d'apercevoir un petit bout de corne nous a rapidement découragés! Nous avons donc fait demi-tour, direction l'Ile de la Cité. Le soleil était au rendez-vous. Notre Dame n'était pas encore trop prise d'assaut par les touristes .Nous en avons profité!

    Cela faisait des années que nous n'avions pas franchi le porche!

    Il faut dire que ces visions d'enfer ne sont pas encourageantes!


    Photo 019-copie-1  



    Photo 018

    Effrayant! Non?
    ( petit clin d'oeil à Francine qui a récemment présenté le côté gauche! http://www.visites-guidees.net/)


    Mais, dès l'entrée, on est emporté par la magie et la somptuosité du lieu.

    Photo 015

    Un tout petit échantillon des merveilles que l'on peut y découvrir :


    Pas de restau. sympa à signaler cette fois...désolée!

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  • En attendant la nouvelle collection de printemps...un article publié précédemment sur Orange:

    100 PANA-P1000165 P1000165Le Croisic.  Loire-Atlantique (44)

     

     

    J'imaginais un chat faisant le dos rond pour aider une famille de souris à passer un caniveau sans se mouiller les pattes ! Hélas non !

     

     

    D’après le guide de l’Office de Tourisme, un bras de mer entrait jadis dans la ville à cet endroit. Un gué se situait à l’emplacement de cette rue. Ce gué était constitué de pierres distantes, prétend-on, d’un saut de chat, d’où son nom !

     

    Selon un spécialiste en toponymie, « cha » serait un mot pré-celtique signifiant « pierre ». Cela confirmerait l’idée du gué, mais éliminerait le chat-minet ! Dommage !

     

    Claude Duneton, écrivain et historien, préfère une autre explication : On appelait autrefois « pont de chat » une étroite passerelle qui reliait au niveau des étages deux maisons en vis à vis dans une rue.

    Quoi qu'il en soit, il faut appeler un chat un chat, mais ......un chat, un cha, un chas, un t'chat???...cha che complique! 


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  • Passage Trou Madame-copie-1Commune de Montluel. Ain (01)

    M. Gilles Bernard du Comité Histoire et patrimoine de Montluel explique: 
    "La ruelle servait aux lavandières, pour sortir de l'enceinte de la ville de Montluel qui était fortifiée.
    Elle doit son nom à un jeu de palets du XIII - XIVème s. qui se nomme tout simplement, le "Trou Madame", mais nous ne pouvons pas savoir, si là-derrière ne se cachait pas à l'époque, une allusion plus triviale."


    Le jeu de Trou Madame trouve ses origines au Moyen-Age. Rabelais en a rendu Gargantua très friand. On y joue au fil des siècles sous des formes différentes. Ce jeu se pratique avec des palets lancés sur la tranche et que l'on doit faire entrer sous des arcades.
    trou madame(Plus d'info sur les jeux anciens sur ce site:http://mincoin.free.fr/region/jeu/jeux.htm)


    Il existe un "Trou  Madame Coco"  à l’extrêmité de la Grande Terre de la Guadeloupe:

    Selon la légende, man coco serait une sorcière, ayant fait un pacte avec le diable, pour devenir plus forte que sa rivale Mme grands fonds. N'ayant pas respecté ce pacte, elle se rendit en mer et le diable l'emporta au lieu dit trou a man coco, ou porte d'enfer.

    Merci à Rémi Cuisinier qui m'a envoyé cette photo
    http://remi.cuisinier.pagesperso-orange.fr


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  • ane vertCommune de Loury. Loiret (45)


    Très étonnante cette couleur pour un âne!
    non?


    La mairie de Loury nous informe qu'il existait jadis dans cette rue, une auberge à cette enseigne.


    Non loin de là, à Aillant-sur-Tholon (Yonne) on trouve également une « Rue de l’Ane Vert ». La mairie donne cette explication :

    « D’après d’anciens élus, cette rue servait de passage  pour emmener les ânes au vert, c’est à dire au pré »

    Anes au vert……âne vert ! avec les déformations dues au temps cela paraît assez logique !

     

    J'avais espéré une explication plus farfelue, mais en faisant les recherches sur l'origine de ce nom, j'ai fait des découvertes amusantes : 
     - Une légende toscane qui raconte qu’une jeune veuve fit peindre son âne en vert pour lutter contre la tradition qui voulait qu’elle n’ait pas le droit de se remarier. (pour lire cette légende:

    http://www.jeunesdumaroc.com/article2751.html

    vert ane

    et aussi:
     - La blague de « Pedro, l’âne vert »… qui accompagne les chevaux dans les chemins escarpés pour éviter leur chute! (cf. Pétrole Hahn Vert contre la chute des cheveux!) lol!

    (cette plaque de rue avait déjà été publiée l'an dernier sur Orange)

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  • rues 0032Commune de Nevers. Nièvre (58)

    A proximité, dans la commune, on trouve :

    rue c1080045   rue cassecou Nevers1080046

    On pouvait donc penser qu'il était effectivement très utile d'avoir de bonnes lunettes pour éviter les accidents dans le quartier!!!
    Mais... rien à voir!!!
     
    Daniel Bonnin, responsable à la mairie de Nevers nous renseigne:

    Concernant la rue des Belles Lunettes, je me rapporte au livre de François Lechat « Nevers pas à pas »que je cite :

                «  Le mot lunettes peut avoir une vingtaine de sens. La rue n’a rien à voir avec l’optique. On peut penser aux petites ouvertures pratiquées dans les voûtes ou dans les toits, comme aux petites demi-lunes que l’on trouve dans les fortifications.

    Mais si l’on en croit la tradition orale, c’est dans une tout autre direction qu’il faut chercher :celle des « ouvertures rondes du siège d’un privé » pour parler avec l'élégance de Littré, mais qu’un plombier appelle tout prosaïquement «  un siège de WC »

    Et cela n’a rien de très étonnant pour qui se souvient avoir vu, le long de la Nièvre, dans l’ancien quartier des Pâtis, les traces indéniables d’écoulements douteux. » 

    Voilà qui manque un peu de poésie! Tant pis!


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